La durabilité chez Elia 

Catherine Vandenborre : Rendre nos activités plus vertes est devenu une part intégrale de notre processus décisionnel. De nombreuses actions concrètes liées à ce domaine ont été identifiées. Nos collaborateurs sont motivés à les implémenter et leur réalisation est suivie de près. Pour rendre nos postes plus durables, nous avons par exemple introduit de nouvelles normes pour les bâtiments. Les toits seront équipés de panneaux solaires alimentant les installations de chauffage et de conditionnement d'air grâce à un contrôle intelligent de la température. Avec d'autres gestionnaires de réseau européens, nous mettons la pression sur nos fournisseurs pour qu’ils rendent leurs processus plus durables. La circularité ne cesse de gagner en importance. Il y a aussi une plus grande conscientisation à la diversité. Elle est devenue une considération importante pour nous en termes de recrutement.

Catherine Vandenborre : Notre stratégie d’entreprise anticipe les tendances sociales comme la croissance des énergies renouvelables, la décentralisation, l’intégration européenne et la digitalisation. Le groupe va donc se concentrer sur trois domaines. Premièrement, nous devons accélérer le développement de notre infrastructure réseau. Deuxièmement, nous mettons au point un nouveau design de marché et de nouvelles solutions pour contrôler le réseau afin d’intégrer des volumes croissants d'énergie renouvelable dans le système. Troisièmement, nous soutenons la communauté et l’industrie tandis que cette dernière fait face à son besoin immédiat de décarboniser et d’électrifier ses processus.  

Catherine Vandenborre : À cet égard, nous travaillons dans trois domaines différents : exploiter un réseau électrique neutre en carbone ; atteindre la neutralité carbone dans nos propres activités ; et évoluer vers une chaîne de valeur neutre en carbone. La majeure partie de notre empreinte carbone vient de nos pertes réseau. Elles sont une part inévitable du transport d'électricité et dépendent de facteurs tels que la distance sur laquelle l'électricité doit être transportée, l’intensité du courant et le niveau de tension. Notre objectif est de réduire l’empreinte carbone de nos pertes réseau de 28 % d’ici 2030. 

Catherine Vandenborre : En 2021, les pires inondations que la Belgique ait connues depuis des décennies ont touché la Wallonie. Certaines de nos infrastructures ont été endommagées. Pour nous adapter à ce genre d'événements, nous avons ajouté un objectif supplémentaire : augmenter notre résilience climatique. En tant que gestionnaire de réseau, nous avons une responsabilité importante vis-à-vis de la collectivité qui consiste à garantir la sécurité du système. C’est la raison pour laquelle nous voulons augmenter la résilience de nos assets face aux événements météorologiques extrêmes comme les inondations, les vagues de chaleur et les tempêtes. Dans le cadre de cet objectif, nous avons professionnalisé notre évaluation des risques climatiques en suivant de près le cadre mis en place par le groupe de travail sur la publication d’informations financières relatives au climat.  

Catherine Vandenborre : Étant donné la vitesse à laquelle notre secteur évolue, nous adaptons également notre programme ActNow aux nouvelles réalités. Nos mers deviendront les hubs énergétiques de demain, ce qui signifie que nous construirons bien plus d’infrastructures offshore qui interagiront avec les environnements marins. Nous mettons désormais davantage l’emphase sur le fait de développer nos projets afin de favoriser la biodiversité des mers du Nord et Baltique. Un bel exemple de notre travail dans ce domaine est l’île énergétique belge. Lors de la conception et de la construction de l’île, nous ne nous contenterons pas de réduire au maximum l’impact de nos activités sur l'écosystème marin. Nous avons adopté une approche appelée « nature inclusive design ». Avec un groupe d’experts en protection de la nature, nous travaillons actuellement à concevoir l’île de manière à ce qu’elle ait même des effets positifs sur la faune et la flore et qu’elle favorise le développement des habitats. 

Catherine Vandenborre : Nous avons plusieurs scores ESG. Chacun démontre que notre travail en vaut la peine puisqu’ils se sont tous améliorés ces dernières années. C’est une bonne nouvelle pour nous et pour la collectivité dans son ensemble. En ancrant ActNow dans notre stratégie d’entreprise, nous réduisons notre exposition au risque, nous devenons plus résilients et nous sommes capables de grandir et de continuer à créer de la valeur pour la communauté et nos actionnaires. 

Catherine Vandenborre : Rendre nos activités plus vertes est devenu une part intégrale de notre processus décisionnel. De nombreuses actions concrètes liées à ce domaine ont été identifiées. Nos collaborateurs sont motivés à les implémenter et leur réalisation est suivie de près. Pour rendre nos postes plus durables, nous avons par exemple introduit de nouvelles normes pour les bâtiments. Les toits seront équipés de panneaux solaires alimentant les installations de chauffage et de conditionnement d'air grâce à un contrôle intelligent de la température. Avec d'autres gestionnaires de réseau européens, nous mettons la pression sur nos fournisseurs pour qu’ils rendent leurs processus plus durables. La circularité ne cesse de gagner en importance. Il y a aussi une plus grande conscientisation à la diversité. Elle est devenue une considération importante pour nous en termes de recrutement.

Catherine Vandenborre : Notre stratégie d’entreprise anticipe les tendances sociales comme la croissance des énergies renouvelables, la décentralisation, l’intégration européenne et la digitalisation. Le groupe va donc se concentrer sur trois domaines. Premièrement, nous devons accélérer le développement de notre infrastructure réseau. Deuxièmement, nous mettons au point un nouveau design de marché et de nouvelles solutions pour contrôler le réseau afin d’intégrer des volumes croissants d'énergie renouvelable dans le système. Troisièmement, nous soutenons la communauté et l’industrie tandis que cette dernière fait face à son besoin immédiat de décarboniser et d’électrifier ses processus.  

Catherine Vandenborre : À cet égard, nous travaillons dans trois domaines différents : exploiter un réseau électrique neutre en carbone ; atteindre la neutralité carbone dans nos propres activités ; et évoluer vers une chaîne de valeur neutre en carbone. La majeure partie de notre empreinte carbone vient de nos pertes réseau. Elles sont une part inévitable du transport d'électricité et dépendent de facteurs tels que la distance sur laquelle l'électricité doit être transportée, l’intensité du courant et le niveau de tension. Notre objectif est de réduire l’empreinte carbone de nos pertes réseau de 28 % d’ici 2030. 

Catherine Vandenborre : En 2021, les pires inondations que la Belgique ait connues depuis des décennies ont touché la Wallonie. Certaines de nos infrastructures ont été endommagées. Pour nous adapter à ce genre d'événements, nous avons ajouté un objectif supplémentaire : augmenter notre résilience climatique. En tant que gestionnaire de réseau, nous avons une responsabilité importante vis-à-vis de la collectivité qui consiste à garantir la sécurité du système. C’est la raison pour laquelle nous voulons augmenter la résilience de nos assets face aux événements météorologiques extrêmes comme les inondations, les vagues de chaleur et les tempêtes. Dans le cadre de cet objectif, nous avons professionnalisé notre évaluation des risques climatiques en suivant de près le cadre mis en place par le groupe de travail sur la publication d’informations financières relatives au climat.  

Catherine Vandenborre : Étant donné la vitesse à laquelle notre secteur évolue, nous adaptons également notre programme ActNow aux nouvelles réalités. Nos mers deviendront les hubs énergétiques de demain, ce qui signifie que nous construirons bien plus d’infrastructures offshore qui interagiront avec les environnements marins. Nous mettons désormais davantage l’emphase sur le fait de développer nos projets afin de favoriser la biodiversité des mers du Nord et Baltique. Un bel exemple de notre travail dans ce domaine est l’île énergétique belge. Lors de la conception et de la construction de l’île, nous ne nous contenterons pas de réduire au maximum l’impact de nos activités sur l'écosystème marin. Nous avons adopté une approche appelée « nature inclusive design ». Avec un groupe d’experts en protection de la nature, nous travaillons actuellement à concevoir l’île de manière à ce qu’elle ait même des effets positifs sur la faune et la flore et qu’elle favorise le développement des habitats. 

Catherine Vandenborre : Nous avons plusieurs scores ESG. Chacun démontre que notre travail en vaut la peine puisqu’ils se sont tous améliorés ces dernières années. C’est une bonne nouvelle pour nous et pour la collectivité dans son ensemble. En ancrant ActNow dans notre stratégie d’entreprise, nous réduisons notre exposition au risque, nous devenons plus résilients et nous sommes capables de grandir et de continuer à créer de la valeur pour la communauté et nos actionnaires.